Mouvements et corps
Le zouk brésilien est une danse sociale qui se pratique à deux. Née de la lambada des années 80, c’est une danse moderne, souple et aérienne. Les mouvements sont amples et impliquent tout le corps, des pieds à la tête. Sa fluidité inspire aujourd’hui le monde des danses afro-latines, au point de se croiser avec d’autres danses (bachazouk, urbankiz…).
La signature du zouk brésilien se trouve dans les mouvements de tête, de buste, et les axes inclinés. La chaîne tête-bassin est sollicitée par des ondulations et des isolations.
C’est une danse qui invite à la confiance et au relâchement entre les partenaires, tout en requérant une maîtrise technique et une connaissance de ses possibilités et limites.
Musicalité
Comme son nom l’indique, le zouk brésilien est une danse qui hybride les mouvements caractéristiques de la lambada brésilienne et le rythme tranquille des musiques caribéennes devenues populaires dans les années 90.
Bien que la lambada se danse sur un rythme soutenu, autour de 120 bpm, la danse s’est métamorphosée en intégrant le rythme plus lent du zouk caribéen, entre 60 et 100 bpm. En ralentissant, les mouvements se sont étirés et ont ainsi donné lieu à une esthétique plus élastique.
Contrairement à certaines danses avec une forte tradition musicale, comme le forrò, qui désigne à la fois la danse et le genre musical, le zouk brésilien s’est émancipé de ses origines musicales.
Aujourd’hui, on peut le danser sur une grande variété de styles musicaux : pop, hip-hop, kizomba, musiques électroniques, R’N’B, reggaeton, chanson française…
Le zouk brésilien en Bretagne
Le zouk brésilien s’introduit en France dans les années 2010, et arrive à Rennes en 2019.
Dans l’ouest de la France, c’est à Rennes et à Nantes que les événements de zouk brésilien sont les plus réguliers, avec des stages et des soirées. Vous trouverez ci-dessous les liens pour rejoindre les événements de zouk brésilien nantais, animés par Témo et Kriss & Aurélie…
A Rennes, la communauté de danseurs fait de nombreux kilomètres pour pratiquer, c’est pourquoi nous privilégions un format d’apprentissage par stages.